Le photographe, Didier Devos, nous invite à le suivre, sans plan préconçu, sans catalogue des merveilles inventoriées par les guides touristiques, offrant subrepticement un reflet distancié de la magie vénitienne à travers le prisme de sa subjectivité esthétique.
L’auteur, Michel Ménaché, s’est amusé à risquer un contrepoint ludique, complice, amical. Il est l’intrus qui se glisse sans retenue dans les marges. Hors champ, flânerie irrévérencieuse qu’il faut considérer comme un simple supplément au voyage pour ceux qui auront aimé Venise avant les ultimes combats contre la montée des eaux...