Dans son anthologie, Les Poètes de l’Île verte, Jean-Luc Steinmetz nous
fait entendre de nombreuses voix disparues, des voix bien réelles, pourtant, et
encore bien présentes — à nos yeux, et à nos oreilles.
Il a su (re)mettre sur le devant de la scène une dizaine d’auteurs issus d’une
génération perdue. La sienne. Celle de la Guerre d’Algérie et des événements
qui ouvrirent la voie à Mai 68.